Jeudi 30 octobre
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Ce matin mon mec tout près de moi a commencé à remuer son bassin, un appel discret à ma main, à mon poigné, pour chauffer un peu ses belles couilles dans ma
main, pendant que lui se branlait.
Ce garçon à la particularité de ne pas exprimer son plaisir, silencieux en toute circonstance dans l'acte des plus intimes. Je ne sais même pas si il a joui, il ne m'a pas touché. Lorsque ce fut
fini, j'ai commencé à écarter les cuisses et à me caresser la chatte bien humide, espérant qu'il se retournerait vers moi pour m'accompagner ou pour me caresser les seins. Non, au lieu de
cela, il s'est levé, puis est sorti de la chambre. Seule, je me suis amenée jusqu'à l'orgasme grâce à une partie de lèche sulfureuse avec quelques hommes et femmes aux gros seins, sortis de mon
imagination, de mon monde fantasmagorique, peut être né de cette carence intime avec mon compagnon. Comment définir notre sexualité? Assez pauvre non épanouissante. Cela de notre fait à tout
les deux, en ce moment, nous en parlons assez facilement, il n'a pas d'appétit sexuel, je le comprends pour être passée par là souvent, mais il est vrai que étrangement ma sexualité à moi se
réveille depuis ses troubles à lui. Mon corps à changé depuis que nous nous connaissons, mon corps a épaissi, quelque peu négligé. Son manque d'élan, chez moi me fait abandonner mon corps. Mais
comme je ne veux pas reporter sur lui mes frustrations, les déviances que cela engendre, j'ouvre aujourd'hui ce blog pour me délivrer de pulsions que pour le moment je ne peux envisager seule. Je
l'aime de tout mon coeur, j'espère que ces délivrances m'ouvriront à une intimité nouvelle, que nous pourrons partager ensemble. Je tiens à garder ce blog secret, pour le moment je ne tiens pas à
partager avec lui cet univers, je sais qu'il me comprendrait, qu'il n'y verrait aucun mal, il a confiance en moi. Je ne recherche pas de rencontres, à assouvir des fantasmes en vrai. Non le virtuel
me va bien, me suffit...
Comme j'ai hâte de mettre en forme ce blog, de l'habiller de cochoneries maisons, de cochones
inconnues également, et oui, j'aime les cochones, les cochons aussi, les voyeurs, les vicieux, les gros seins, les chattes humides, hâte de passer vous rendre visite
aussi.
Par hello kitty
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Publié dans : Journal et déviance
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